• La vie est une série de cycle
    Heureux et malheureux entremêlé
    Mais vient une série d'obstacle
    Qui vont de désespoir t'emmêler

    Parfois vient le printemps de ta vie
    Aux pétales et couleurs chatoyantes
    C'est alors que vient l'hiver suivi
    Celui qui fait que ta vie déchante

    La douce mélodie du vent
    Laisse place à la tempête
    Le passage calme du temps
    S'arrête alors de façon nette

    Froid, comme l'ouragan glacé te traversant
    Croix, que tu portes sans cesse en te blessant
    Tristesse, et les larmes continuellement qui t'assaillent
    Détresse, quand tu te vois que de la peine rien ne vaille

    Attiré par le vide profond de l'obscurité
    Tu rêves d'y plonger sans dire la vérité
    Et qu'ainsi la vie que tu finis par nier
    Soit du cycle finalement le dernier


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  • L’horloge du temps a encore une fois sonné
    Pour quelqu’un, chaque seconde lui est compté
    De la vie, il sera l’abandonné
    Cruelle destinée que l’on doit accepter

    Quand en toi tu sens une bombe à retardement
    Et bien que tu ne saches ni le jour ni le moment
    Tu perds la foi dans ce qui te fait bouger
    Parce que tu dois renoncer à tout projet

    Du moins le crois-tu à l’instant de le savoir
    Tu penses que ta vie est fondée sur le désespoir
    Détrompe-toi, laisse-moi allumer la flamme
    Celle-là seule qui anime encore ton âme

    Si la vie était un cocktail de jouvence
    Il serait malvenu d’en gâcher les dernières gouttes
    Si finalement tu ne fais que craindre les conséquences
    Alors n’ait à jamais plus aucun doute

    Car finalement si le sable devrait s’arrêter de couler
    La seule chose que tu devrais craindre,
    Et qui sur chacun des vivants devrait déteindre,
    Serait la symphonie des regrets refoulés

    Cette triste mélodie coulera dans les cœurs des sachants
    Ceux qui n’ont su faire tout ce qu’ils pouvaient de leur vivant
    Et qui auront de toi ce souvenir immortel
    La fin d’un être leur étant essentiel

    Finalement ne perd pas de vue une chose
    Il y a un précepte à conserver à jamais
    Carpe diem, cueille le jour désormais
    Ne craint pas au dernier moment ce que tu oses


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  • Le vent souffle fort ce soir,
    S'accompagne d'un désespoir.
    À l'aube des tempêtes ténues,
    L'esprit sera bientôt le détenu

    Que l'on roule sur un plateau,
    Et dont on note le numéro
    Pour le classifier puis le prendre en étaux.
    L'esprit sombre, croyant être le héros,

    Mais il est perdu dans le brouillard des pensées.
    Traversant un lac sur une barque trouée,
    Et alors qu'il commence à en avoir assez,
    L'esprit plonge dans ces eaux pollués

    Par le flots des pensées obscures
    Que l'esprit tisse contre son gré.
    Et une par une elles forment son regret,
    Dont l'esprit remonte le fil et qui le torturent.


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  • Lente et douce agonie.
    Poison se répandant,
    Détruisant toute envie,
    Et répondant au néant.

    Une fois la pièce lancée,
    Espoir et désespoir lié,
    Tombe du mauvais côté,
    Et tel un lieu inhospitalier,

    Tu goûteras à l'amertume,
    Et aux larmes versées sur le bitume.
    A moins que sur le lit du deuil,
    Tu ne lises un recueil,

    Tenant plus du spleen
    Que de l'idéal.
    Murmure dans l'échine,
    Cri abyssal.

    Et le désespoir a tout conquis.
    Pauvre marionnette aux fils usés,
    Tu vois ce que tu croyais acquis,
    S'effriter au gré de tes gestes désabusés.


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  • Bleu shadé de désespoir
    Une autre âme s'éteint, ce soir.
    Elle voulait connaître la joie
    Mais elle est partie, cette fois.

    Tu ne voulais qu'être aimé,
    Mais dans ton geste désespéré,
    Tu as finalement exprimé
    Le mal être que tu as ancré.
     
    Quand tout n'est que douleur,
    Quand tout n'est que souffrance,
    Tu souhaites un monde meilleur,
    Mais tu as perdu l'espérance.

    Tragédie d'une vie,
    Et de toutes celles liées.
    Tu n'entends plus le battement régulier,
    D'un être qui la rythmait aussi.

    Alors vous autres, personnes occupées,
    N'ignorez pas la souffrance.
    Ne laissez pas cette personne en paix.
    Car la flamme s'éteint toujours en silence.


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